Un moment de théâtre vivant et expressif aussi bien
sur scène que dans le public
Monter un spectacle pour enfant demande une grande exigence de sincérité. Les enfants sont un public particulièrement attentif, si un personnage manque de relief, de crédibilité, de structure ou de rebondi, ce dernier se fait rapidement désarçonner ! Nous mettons donc un point d’honneur à bâtir nos spectacles avant tout sur la solidité des personnages, ceci afin que ces derniers puissent en tout temps rassurer les enfants et les ramener vers le fil de l’histoire. C’est tout en souplesse, avec espièglerie et tendresse, que nous nous proposons d’emmener notre jeune public dans une aventure à sa mesure, pleine de surprises, de rebondissements, d’inattendu et d’émotions.
Il y a dans l’exigence du travail théâtral un engagement total que les enfants ressentent. C’est un moyen qui permet de faire vivre des aventures dangereuses sans risque et de transmettre par le ressenti des informations vitales qui, à ces âges-là, passent souvent mieux par le corps que par la conscience intellectuelle.
Dans «Loup y es-tu ?» Max, le mouton invite le jeune spectateur à la transgression, transgression que nous lui autorisons à des fins éducatives. En effet, un besoin ne se cache-t-il pas derrière chaque action transgressive ? Grâce à Max, le public s’aventure à la recherche de ces besoins, dans une zone interdite où les émotions sont fortes, sans courir le risque d’en ressortir mordu. Nous lui offrons le plaisir de décider à chaque instant s’il veut devenir le mangeur, ou le dévoré, … ou les deux !
Les salsifis qui babillent ont créé cette histoire de toutes pièces. Il s’agit d’un conte moderne, où les valeurs anciennes côtoient les nouvelles tendances. Dans «Loup y es-tu ?» Max le mouton questionne le cadre, ce qui permet au spectateur de partir du connu pour aller vers l’inconnu, de franchir la clôture pour visiter ce qui est censé faire peur ; une fois l’expérience faite, il choisira de revenir en ayant intégré ce qu’il doit garder du passé. Dès lors, il aura lui-même exploré et retenu les éléments qui sont bons pour lui et ceux qu’il est préférable de laisser de côté. Nous entendons à travers ce premier spectacle attirer l’attention sur les a prioris, afin de permettre à chacun de se repositionner librement dans un cadre rassurant qu’il aura délibérément choisi.
Dans un deuxième temps, Les salsifis qui babillent proposent un travail d’approfondissement dans les classes s’articulant autour d’un matériel éducatif en lien avec le spectacle, prêté aux enseignant/es. L’idée est d’apporter aux jeunes générations une alternative à un système dans lequel un gagnant s’accompagne toujours d’un perdant. Par des exercices concrets, en individuel ou en collectif, l’enfant pourra prendre conscience que parfois être ensemble amène plus de satisfaction que de gagner tout seul. Le matériel pédagogique que nous proposons lui permettra d’intégrer à travers ses 5 sens les éléments abordés dans le spectacle.
Dans un troisième temps, les enseignant/es intéressé/es à poursuivre l’aventure, peuvent demander l’intervention d’un membre de la compagnie dans leur classe. L’outil du théâtre devient alors pour l’enfant le moyen d’ancrer dans son corps les notions de limite, de choix et de respect. Nous emmenons l’intégralité de la classe (enseignant compris) dans un voyage à la rencontre de nouvelles formes de communication favorisant l’acceptation des différences. Ensemble, nous nous laisserons surprendre afin de découvrir quelles sont nos plus belles richesses, à partager sans modération.
Le même dispositif sera mis en place à la rentrée 2019 pour le spectacle «Prom'nons-nous dans les bois... », suite à sa création les 18, 21 et 22 septembre 2019 à la Maison de quartier de Chailly à Lausanne.
Il y a dans l’exigence du travail théâtral un engagement total que les enfants ressentent. C’est un moyen qui permet de faire vivre des aventures dangereuses sans risque et de transmettre par le ressenti des informations vitales qui, à ces âges-là, passent souvent mieux par le corps que par la conscience intellectuelle.
Dans «Loup y es-tu ?» Max, le mouton invite le jeune spectateur à la transgression, transgression que nous lui autorisons à des fins éducatives. En effet, un besoin ne se cache-t-il pas derrière chaque action transgressive ? Grâce à Max, le public s’aventure à la recherche de ces besoins, dans une zone interdite où les émotions sont fortes, sans courir le risque d’en ressortir mordu. Nous lui offrons le plaisir de décider à chaque instant s’il veut devenir le mangeur, ou le dévoré, … ou les deux !
Les salsifis qui babillent ont créé cette histoire de toutes pièces. Il s’agit d’un conte moderne, où les valeurs anciennes côtoient les nouvelles tendances. Dans «Loup y es-tu ?» Max le mouton questionne le cadre, ce qui permet au spectateur de partir du connu pour aller vers l’inconnu, de franchir la clôture pour visiter ce qui est censé faire peur ; une fois l’expérience faite, il choisira de revenir en ayant intégré ce qu’il doit garder du passé. Dès lors, il aura lui-même exploré et retenu les éléments qui sont bons pour lui et ceux qu’il est préférable de laisser de côté. Nous entendons à travers ce premier spectacle attirer l’attention sur les a prioris, afin de permettre à chacun de se repositionner librement dans un cadre rassurant qu’il aura délibérément choisi.
Dans un deuxième temps, Les salsifis qui babillent proposent un travail d’approfondissement dans les classes s’articulant autour d’un matériel éducatif en lien avec le spectacle, prêté aux enseignant/es. L’idée est d’apporter aux jeunes générations une alternative à un système dans lequel un gagnant s’accompagne toujours d’un perdant. Par des exercices concrets, en individuel ou en collectif, l’enfant pourra prendre conscience que parfois être ensemble amène plus de satisfaction que de gagner tout seul. Le matériel pédagogique que nous proposons lui permettra d’intégrer à travers ses 5 sens les éléments abordés dans le spectacle.
Dans un troisième temps, les enseignant/es intéressé/es à poursuivre l’aventure, peuvent demander l’intervention d’un membre de la compagnie dans leur classe. L’outil du théâtre devient alors pour l’enfant le moyen d’ancrer dans son corps les notions de limite, de choix et de respect. Nous emmenons l’intégralité de la classe (enseignant compris) dans un voyage à la rencontre de nouvelles formes de communication favorisant l’acceptation des différences. Ensemble, nous nous laisserons surprendre afin de découvrir quelles sont nos plus belles richesses, à partager sans modération.
Le même dispositif sera mis en place à la rentrée 2019 pour le spectacle «Prom'nons-nous dans les bois... », suite à sa création les 18, 21 et 22 septembre 2019 à la Maison de quartier de Chailly à Lausanne.